BREAK OUT ou la semaine de la langue française à Voglans...

...un exemple supplémentaire du renoncement actuel !

La France aujourd'hui souffre d'une perte de toute fierté, de tout amour-propre, de toute confiance de la part de ses enfants, de ses citoyens !

Au point que les Français pensent pouvoir affronter les menaces et défis actuels, construire leur avenir en renonçant à ce qu'ils sont et notamment à l'expression de leur âme, à l'expression de l'âme de la France : la langue française !

Exemple à Voglans, commune du renoncement par excellence des autorités..., où depuis des mois des centaines de milliers de véhicules défilent devant ce panneau publicitaire, planté au bord du rond-point de l'aéroport et où les forces de l'ordre de la République, dont la langue officielle est le français, sont très souvent positionnées. Pourtant ce panneau qui pourrait nous faire croire que nous sommes dans un pays anglo-saxon, est complètement illégal.  Mais rien ne s'est passé, il est toujours là, comme s'il était chez lui ...!

Photographies prises le 21 mars 2017 à 13h30

 

                                                       Article 2 de la loi du 4 août 1994 relative à l’usage de la langue française

Dans la désignation, l'offre, la présentation, le mode d'emploi ou d'utilisation, la description de l'étendue et des conditions de garantie d'un bien, d'un produit ou d'un service, ainsi que dans les factures et quittances, l'emploi de la langue française est obligatoire.

Les mêmes dispositions s'appliquent à toute publicité écrite, parlée ou audiovisuelle.


                                                                                                                                        Article 3

Toute inscription ou annonce apposée ou faite sur la voie publique, dans un lieu ouvert au public ou dans un moyen de transport en commun et destinée à l'information du public doit être formulée en langue française.

Si l'inscription rédigée en violation des dispositions qui précèdent est apposée par un tiers utilisateur sur un bien appartenant à une personne morale de droit public, celle-ci doit mettre l'utilisateur en demeure de faire cesser, à ses frais et dans le délai fixé par elle, l'irrégularité constatée. Si la mise en demeure n'est pas suivie d'effet, l'usage du bien peut, en tenant compte de la gravité du manquement, être retiré au contrevenant, quels que soient les stipulations du contrat ou les termes de l'autorisation qui lui avait été accordée.

Citoyens, à vous de juger si les autorités font bien le travail pour lequel elles sont payées !

Marcel GIRARDIN

Conseiller municipal de Voglans