Erreur grossière ou participation de l’Essor savoyard à une manipulation de plus grande envergure dans l'affaire du pâtissier...

...pour affaiblir un élu de l'opposition voglanaise ?

Comment ne pas s’étonner devant " l’erreur grossière ", commise dans un article récent de l’Essor savoyard, daté du 30 mars, au sujet des suites de l’article «  l’inacceptable soumission du pâtissier » publié par aixlesains-lejournal.fr, en date du 23 septembre 2016…!

L'Essor savoyard affirme que cette histoire a resurgi il y a deux semaines, donc autour du 15 mars 2017, via un internaute diffusant le texte sur un réseau social ; entraînant aussitôt moult réactions et faisant apparaître pour la première fois le nom du pâtissier.

Après avoir raconté cette fable, cet auteur pas très futé, associe le pâtissier à son opération de manipulation en expliquant que celui-ci,  informé de cette histoire, va déposer plainte contre un internaute qui a diffusé l’information sur les réseaux sociaux et le nom de son enseigne.

 

  Essor savoyard du 30 mars 2017  

 

Et là, on tombe des nues devant tant de mauvaise foi ! En effet, comment le pâtissier pourrait-il ne pas se rappeler que c’est lui-même qui s’est publiquement auto-désigné comme une victime dans son intervention du 1er novembre 2016, sur Aix’prim Toi Groupe public de près de 6000 personnes sur Facebook ; intervention largement relayée par le journal Aix-info, également sur son compte Facebook et présentée sur le site internet de la pâtisserie et, semble-t-il maintenant, si l’on en croît l’Essor savoyard, sur le comptoir de sa boutique où il accuse nommément une personne ?

 

Pour quelqu’un qui se plaint d’avoir été diffamé dans l’article du 23 septembre d’aixlesbains-lejournal alors que son nom n’est jamais apparu dans cet article et à la lecture duquel, aucun lecteur n’est en mesure de savoir qui l’a écrit, ni quelle est sa qualité, le pâtissier ne commet-il pas lui-même, dans ce cas, un véritable délit de diffamation ?

Il y a donc une contradiction majeure dans l’Essor savoyard du 30 mars et chez le pâtissier ; surtout que celui-ci a recommencé à se présenter comme une victime, le 8 février 2017, toujours donc avant le 15 mars et toujours sur Aix’prim Toi Groupe public, en entretenant de nombreux échanges avec les internautes. 

Finalement, l'Essor savoyard pouvait-il affirmer que le pâtissier a découvert cette mise en cause autour du 15 mars 2017 alors qu'il se répandait lui-même dans les réseaux sociaux et la presse en ligne depuis début novembre 2016 ? Les lecteurs et abonnés de l'Essor savoyard vont être sûrement ravis de découvrir que certains auteurs de ce journal ont peut-être cherché à les manipuler !

 

En effet, l’Essor savoyard n’hésite pas à écrire faussement que l’article du 23 septembre est signé de la main d’un élu voglanais et à s’inscrire ainsi dans une tentative de déstabilisation de cet élu conduite, depuis l’automne dernier, notamment par la mairie de Voglans et son avocat attitré ; lequel avocat lyonnais est également celui de la CALB pour des dossiers d’urbanisme...!

 Essor savoyard du 30 mars 2017

 

Le 4 novembre 2016, simultanément aux premières attaques du pâtissier sur Aix’prim toi et Aixinfo, l’avocat de la mairie de Voglans dépose auprès de la Cour d’Appel Administrative de Lyon, un mémoire pour défendre cette commune interpellée au sujet du respect de l’article 2 de la loi du 9 décembre 1905 dite loi de laïcité et du principe de neutralité du service public qui en découle, notamment à la cantine municipale. L’élu de l’opposition voglanaise demandait et demande que soit supprimée la proposition de repas sans porc faite sur la fiche d’inscription à la cantine de Voglans. On peut, par ailleurs, s'interroger sur le fait de savoir si l'établissement de ces fiches est bien légal, ou à tout le moins tolérable, puisqu'il conduit inévitablement à constituer un fichier des élèves selon leurs croyances religieuses ?

 

Fallait-il que cet avocat et la mairie de Voglans ne se sentent pas assez sûrs d’eux-mêmes pour utiliser, comme pièce à charge n° 4 devant la CAA de Lyon, un faux en écriture circulant sur internet et composé justement de cet article du 23 septembre 2016, auquel a été ajouté en guise de signature le prénom, le nom de cet élu et sa qualité de conseiller municipal de Voglans ? Un élément supplémentaire permet de montrer que ce document a été fabriqué spécialement à charge contre cet élu puisque en-dessous de cette signature bidonnée, il a été ajouté l’adresse internet complète d’un article de l’Essor savoyard du 28 juillet 2014 attaquant déjà maladroitement cet élu, sur ses interventions municipales ; et cela sans que soit cependant mentionné l’article en droit de réponse que cet élu avait exigé et dont il avait obtenu la publication par le même Essor savoyard, le 7 août 2014.

 

Non-content d’avoir introduit ce faux devant la CAA de Lyon, l’avocat et la mairie de Voglans produisirent, le 2 février 2017, un deuxième mémoire pour contrer la demande faite par l’élu voglanais et son avocat afin que cette pièce n°4 et les commentaires l’accompagnant soient rejetés par la Cour d'Appel Administrative de Lyon. 


Le second mémoire de la mairie de Voglans appelle donc à la rescousse le texte publié, dès le 1er novembre 2016, par le pâtissier sur le site internet de sa boutique et les réseaux sociaux, pour tenter de justifier la véracité de leur fausse pièce n° 4. Il faut noter que le 8 février suivant le pâtissier de Viviers du lac relançait ( effet du hasard ? ) ses attaques contre cet élu voglanais sur Aix’prim Toi groupe public de Facebook.

On est donc, à ce moment-là, bien loin du recours en appel déposé par l’élu voglanais devant la CAA de Lyon contre le jugement du tribunal administratif de Grenoble qui, en date du 7 juillet 2016,  avait validé à Voglans, un mode d’élaboration de menus prenant en compte certains interdits religieux, en violation des dispositions et principes constitutionnels de laïcité, de neutralité du service public et de la seule prise en compte des critères nutritionnels dans l’élaboration des menus des repas servis dans les cantines scolaires et autres services publics.

De tous ces faits incontestables, concomitants et malveillants, surgissent des interrogations inévitables sur la possible existence d’une cabale dans la région aixoise contre cet élu qui n’hésite pas à intervenir sur des dossiers sensibles en matière de finance et de marchés publics, d’urbanisme, d'intercommunalité et d’affaires politico-immobilières que le Procureur de la République, saisi pour certaines, a qualifié d'infraction mais qu'il a classées sans suite pour délai dépassé...dans une lettre du 10 mai 2016 ! Voir à partir du lien ci-dessous :

"https://www.lebulletinvoglanais.fr/réponse-du-procureur-de-la-république-il-y-a-bien-eu-infraction-pénale/"