BFM, le 02 novembre 2020 .
Incroyable discussion
d’un duo d’improbables turlupins devant les yeux incrédules d’autres
journalistes qui ne peuvent que sourire tellement ils ne trouvent rien à dire
devant de telles obscénités ! (Pourtant sur BFM, au niveau ‘’saloperies’’,
ils sont les rois, mais là, même eux se posent visiblement des questions. Le
courage aurait voulu qu’un de ceux-ci se lève et mette une claque à cet
individu, pur produit de notre décadence!)
Des colins froids dangereux .
Ces gens se
permettent d’entrer dans nos foyers pour nous dire ce que l’on doit
faire ! Vont-ils y accéder bientôt pour nous y contrôler ?
Un chauve à lunettes d’écailles et moustache, affublé
de sa décoration ! Ridicule caricature de haut fonctionnaire bouffi de
suffisance qui nous parle de nos enfants et petits enfants, entre autres délires
abscons.
Le cuistre :
‘’Il faut que quand ils rentrent à la
maison , qu’ils gardent leurs masques. Il faut qu’ils gardent leurs masques et
qu’ils soient très rigoureux sur l’hygiène des mains. Surtout dans les petits
logements ou on va avoir du mal à respecter la distance, on va avoir du mal à
la respecter.’’ (Surtout dans les petits logements ! Dans leurs
grandes maisons bourgeoises, on peut manger avec les enfants… )
La
journaliste : ‘’Et quand on
mange ?’’
Le cuistre :
‘’Eh bin ! (Sic) On n’est pas tous obligés de manger
ensemble. C’est un bouleversement. Le repas familial est très important, mais
là, si on ne contrôle pas… Ca, alors là, on ne va pas arriver à concilier notre
obligation éducative et, malgré tout ralentir cette épidémie pour éviter des
malades et des morts et puis, pour limiter la casse économique et sociale qui
est déjà considérable. Il faut garder le masque à la maison.’’ .
Charabia et
confusion mentale à rapprocher à l’intervention de l’écharpé rouge qui en avril
2020 disait :
‘’A un moment donné pour sauver quelques vies
de personnes très âgées, on va mettre au chômage quelques milliers de gens… La
vie a un coût pour l’économie. Et cet arbitrage là, dans l’ombre, dans la
pénombre des cabinets ministériels, il faut bien à un moment l’envisager…’’
Sans oublier en
2018, pendant la réforme des retraites : ‘’Il y a beaucoup des plus âgés de ce pays qui ne seront plus électeurs
en 2022, parce qu’ils seront morts. Et voilà !’’ Alors profitons…
L’écharpé ne va pas
jusqu’à proposer de faire le tri lui-même, ou piquer quelques vieux, mais …on
le sent un peu capable de le faire.
La noblesse d’Etat : plus de 25 000 hauts
fonctionnaires !
Qui est cet apparatchik ?
On ne compte plus
ses titres, ses emplois divers et variés dans la haute administration !
Une seule chose est certaines c’est qu’il y a longtemps qu’il n’a pas approché
de près ou de loin un malade !
Personnage plutôt ‘’cocasse’’.
C’est un
épidémiologiste de plateau télé. Il a été nommé Directeur Général de la Santé
en 2003 par le ministre Mattei dont il était proche. A noter que ses troupes
ont trouvé son arrivée plus que ‘’cocasse’’. Il était le conseiller du ministre
pour la santé publique, ce qui inclut la gestion de crises. Il a fait irruption
dans les médias en 1996 en révélant les ‘’350 morts prématurés de la pollution
automobile’’ à Paris. Il est promu alors
que mobilisation de son cabinet face
à la crise de la canicule est mise en cause ! Mais il n’a pas embrayé sur la canicule de 2003 qui a fait 20 000
morts. Savez vous pourquoi ? Il était en vacances ! 20 000 morts
de la canicule en août 2003 et il était en vacances! Au ministère il
s’était aliéné les associations de malades qu’il n’a jamais reçues. Ses
collègues ironisaient ‘’car il a tendance
à s’alarmer à la moindre mouche qui vole.’’ Devant les mouches, peut-être, pour
le reste, comme de nombreux hauts fonctionnaires, le seul souci est le plan de
carrière ! (A noter, 2003! Grande époque de la chiraquie et des raffarinades que nos grands élus savoyards ont accompagnée!)
Relire le livre : ‘’La mort est mon métier’’ de
Robert Merle .
D’après une
histoire authentique d’un homme ordinaire, voire anonyme, qui est devenu par
son zèle et ses actes, un redoutable assassin ‘’bureaucratique’’ dans l’extermination
d’un peuple.
Dès l’adolescence
on lui demande simplement d’obéir aux ordres et cette rigueur lui plait.
Son obéissance lui permet de monter rapidement en grade jusqu’à prendre la
direction d’un camp. Bon père, bon mari, son absence de réflexion morale est horrifiante.
Il se contente d’obéir d’une obéissance astucieuse où il cherche à bien faire,
sans se poser la question du bien ou du mal. On lui demande de liquider X
personnes par jour, il cherchera une solution efficace pour y parvenir.
Au tribunal, il
dira :
. ‘’Je ne pouvais pas me permettre d’être ému…
J’avais des ordres. Les enfants étaient considérés comme inaptes au travail, je
devais donc les éliminer.’’ (En 2020, ce sont les vieux.)
. ‘’ Il ne vous est donc jamais venu à l’idée
de les épargner ?
. ‘’Il ne m’est jamais venu à l’idée de
désobéir aux ordres.’’
C’est un livre effrayant de froideur ! Les décisions son intellectualisées sans la
moindre empathie.
Quand tout le
système s’est écroulé, il s’est retrouvé seul devant le tribunal, il ne s’est
pas trouvé d’excuses:
. ‘’Il n’y avait plus personne pour me dire ce
qu’il fallait faire, je m’ennuyais..’’.
On sent chez beaucoup de nos ‘’élites’’ la servilité du kapo ! On sait comment ça commence et on sait comment ça fini ! Dans le monde politico médiatique certains s’en rapprochent. C’est le triomphe des médiocres. Le vrai mystère n’est plus de savoir s’ils croient eux-mêmes à tous leurs mensonges et amalgames malhonnêtes , mais de savoir combien nous les payons pour leur sale besogne.