Quand le premier Sinistre nous ordonne : Au bar du coin, buvez votre consommation ASSIS !

La bonne réponse est: "DEBOUT, les damnés de la terre..!"


Personne n'aurait pu imaginer Georges Pompidou, premier Ministre de C. de Gaulle, prendre la parole à la télévision pour annoncer "Désormais vous ne pourrez plus boire votre consommation debout au comptoir mais vous devrez obligatoirement vous asseoir".
Avec le premier ministre, sinistre, comique Castex tout est désormais possible. Et surtout le pire, sans qu'on sache s'il est un peu piqué ou s'il en tient une sacrée dose? 
Alors, bonne année 2022 ???

Si, voici deux ans, le 1er janvier 2020, quelqu'un m'avait présenté ses "Meilleurs Voeux" en m'annonçant:

- qu'à cause d'un virus nouveau mon pays allait entrer "En Guerre" pour une période indéterminée mais sûrement très longue
- que si par malheur j'attrapais ce virus, on m'interdirait d'aller consulter un médecin et que je devrais attendre que mon mal s'aggrave pour me faire intuber à l'hôpital avec un risque important d'y laisser ma vie
- que dès le mois de mars 2020 je serai confiné à domicile pendant plus de 2 mois, ceci 23 heures sur 24
- que je serais juste autorisé à me promener pendant une heure et à moins d'un kilomètre de chez moi
- que pour ce faire je devrais chaque jour remplir un ausweiss une self autorisation en recopiant le texte d'un décret et en y apposant ma signature, symbole de la perversité inégalée de ses concepteurs
- que des miliciens aux ordres idiots du pouvoir m'interpelleraient dans la rue pour vérifier mon ausweiss

- que l'on m'interdirait d'aller rendre visite à ma grand-mère qui vivait ses derniers jours dans un établissement de séjour hospitalier
- qu'à ce confinement strict succèderait une période durant laquelle je ne pourrais pas m'éloigner de plus de 100 kilomètres de mon lieu de résidence
- que par la suite, à défaut d'un confinement, on m'imposerait un couvre-feu me contraignant à regagner mes pénates avant la tombée de la nuit
- que l'on m'obligerait à porter une muselière dite sanitaire en toute heure et en tout lieu, y compris en plein air, sur les plages comme sur les pistes de ski... quand elles seraient ré-ouvertes
- que tous les jours, radios et télés, alliées du pouvoir, égrèneraient des litanies de morts plus ou moins vérifiées, faisant écho à des propos alarmistes de prétendus spécialistes médicaux n'ayant jamais vu un malade

- que bientôt l'on me re-confinerait à mon domicile avec juste une laisse un peu plus longue pour mes sorties contrôlées
- que plus tard on me promettrait de retrouver ma liberté si j'acceptais de me faire piquer avec un produit si peu sûr que ses fabricants refusaient de porter la moindre responsabilité en cas d'effets secondaires délétères
- que l'on m'interdirait de me rendre dans un restaurant, ou au cinéma, ou dans divers lieux publics, si je n'avais pas reçu l'injection d'un produit inconnu censé me protéger
- que l'on me promettrait néanmoins que cette injection ne serait jamais obligatoire et qu'il n'y aurait jamais d'ausweiss passe-sanitaire
- que peu après, si je continuais de refuser l'injection, on me qualifierait de danger public au motif que la dite injection serait censée non seulement me protéger mais aussi protéger les autres
- que bientôt, en dépit des promesses, un ausweiss passe sanitaire serait rendu obligatoire, y compris pour prendre le train (mais pas pour monter dans le métro!
- que chaque samedi, à travers toute la France, des centaines de milliers de gens défileraient pour réclamer la levée de ces mesures liberticides
- que la seule réponse du pouvoir serait d'envoyer des milliers de forces de l'ordre, dont quelques nervis, pour gazer ou cogner ces récalcitrants, ceci dans l'indifférence des grands médias
- que, dans un état de sidération, je verrais des "braves gens" montrer fièrement leur Cul Air Code pour avoir accès aux terrasses des bistrots
- que des gérants d'établissements recevant du public se transformeraient sans complexe en auxiliaires de police et vérifieraient ces laisser-passer
- que les habitants de mon pays, 
comme dans les pires moment de son histoire, se partageraient bientôt en deux classes, parfois antagonistes: d'un côté, les plus nombreux, les bons injectés reconnus par le pouvoir, et, de l'autre, minoritaires, les refuznicks.
- que mes tour-menteurs finiraient difficilement par reconnaître que les fameuses injections n'empêchaient pas leurs receveurs d'attraper le virus ni de contaminer les autres

- que malgré cela le pouvoir prétendrait que c'est moi, en refusant ces injections inopérantes, qui serais responsable si le virus n'avait pas été éradiqué
- que pour me punir de n'avoir pas voulu me faire injecter une dose, deux doses, trois doses, quatre doses (etc) d'un produit en mode expérimental, on me vouerait aux gémonies quotidiennement
- que ce serait ma faute si les injectés à trois doses devaient remplacer leur passe-sanitaire par un passe-vaccinal, ceci avant de recevoir les doses suivantes
- que l'on me recommanderait de ne pas inviter plus de quatre personnes à Noël, de faire tester tout le monde et de garder le masque sauf pour boire un coup, très vite, et avaler une bouchée, précipitamment... Papy et Mamie à la cuisine, bien sûr, les autres au salon
- qu'à cause de mon refus des injections, on allait devoir piquouser avec un produit expérimental mes petits-enfants âgés de plus cinq ans
- que si un ponte médical osait tenir des propos contraires à la doxa gouvernementale pro-injection, il serait censuré, traqué, menacé
- que l'exercice de la médecine en France serait soumise aux diktats imbéciles d'illuminés politisés et ou stipendiés...
- que "mon" premier ministre interviendrait à la télévision pour me contraindre à présenter un passe sanitaire, plus ma carte d'identité, plus un test négatif, ceci pour aller boire un café au bistrot et avec l'interdiction de le faire au comptoir mais avec l'obligation de le consommer assis...


Bref si quelqu'un m'avait annoncé le 1er janvier 2020 que j'allais vivre dans ce monde de fous ou sous un totalitarisme abject qui ne veut pas dire son nom, je lui aurais ri au nez. Et je lui aurais conseillé d'aller vite voir un psychiatre.
Car jusqu'à pas très longtemps je croyais (encore un peu) vivre en France, ce pays qui a mis la LIBERTÉ en tête de sa devise. En France, ce pays qui a longtemps éclairé le monde de ses Lumières, qui fut si souvent cité en exemple pour sa science, sa médecine, sa culture, ses arts, ses philosophes... Pour sa qualité de vie
. Et aussi pour le côté un peu frondeur de ses concitoyens. Un pays qui se prétendait une démocratie, c'est à dire un pays où le peuple, éclairé, serait le seul à avoir le dernier mot...

Bref, si le 1er janvier 2020 on m'avait annoncé tout ce que j'ai vu, entendu et vécu depuis deux ans, je n'en aurais pas cru un mot.

Après cela, comment voulez vous que je vous présente des meilleurs voeux pour 2022 sans passer pour un charlatan.

Aussi, au nom de la rédaction, je vous souhaite simplement... UNE ANNÉE 2022.

Opticon


Post scriptum: J'ai eu la chance de passer les derniers jours de l'année qui s'achève dans un village côtier éloigné des grands centres urbains. J'y ai régulièrement croisé des autochtones comme des personnes en villégiature débarrassés de leur muselière. En se croisant sur les chemins, les visages s'éclairaient souvent d'un sourire. Comme on était alors loin de ces regards fuyants jetés par ceux que le port habituel de la muselière, y compris en plein air, a rendus méfiants envers leurs contemporains. Comme on était loin de ce climat de guerre civile auquel le sénateur Houpert, d'ordinaire si réservé et prudent, fait référence dans l'interview dont extrait ci-dessous.

https://ntdtv.fr/alain-houpert-risque-dune-guerre-civile-froide/

Alain Houpert, sénateur de la Côte-d’Or 

“Le gouvernement a choisi le séparatisme, la discrimination en particulier sur le pass sanitaire, diviser les Français. Vous savez qu’on risque de rentrer dans une guerre civile froide, c’est à dire que les Français sont en train de se détourner du politique de droite comme de gauche, ils veulent renverser la table, ça veut dire qu’ils vont voter pour n’importe quoi. Dans ma vocation de politique, c’est la politique qui doit être au service du citoyen et on ne doit pas imposer la politique aux citoyens. On s’aperçoit que le citoyen c’est la variable d’ajustement de ce gouvernement.”


Et pour ne pas mourir idiot, voir aussi:

https://www.youtube.com/watch?v=HoGpvbXD0uI