UNE ÉTRANGE AFFAIRE

Il y a des histoires sans parole, voici une histoire... sans histoire


  Au début on a hésité à croire à cette histoire que l’on nous racontait. Nos informateurs avaient beau insister, nous affirmer que les faits étaient là, que l’affaire finirait par éclater un jour, on n’arrivait pas à y adhérer. C’était tellement, comment dire... tellement énorme. Quoi que, à bien y réfléchir, pas vraiment surprenant non plus.

Toutefois, par conscience journalistique, avant de laisser tomber on a tenté de vérifier si d’autres personnes pouvaient confirmer ce que d’aucuns nous assuraient être la vérité. Et c’est là que ça a commencé à se compliquer. Au cœur même du système mis en cause, nos « témoins » restaient d’une rare prudence. Au mieux, certains nous confirmaient que l’ambiance dans ce milieu ne cessait de se dégrader. On nous apprenait que plusieurs membres de l’équipe salariée s’y mettaient en maladie tandis que d’autres choisissaient d’aller voir ailleurs. Mais, à franchement parler, aucun de ceux que nous avons contactés n’a pu ou n’a voulu nous confirmer l’histoire qui nous avait été racontée à l’origine.
Alors on est retourné vers nos premiers informateurs, lesquels ont maintenu leurs précédents propos mais toujours en refusant de nous laisser une trace de leur témoignage. Par crainte, nous ont-ils dit, des mesures de rétorsion.

De fait, on ne savait plus quoi faire de cette info. Car même si on avait les noms et qualités des présumés protagonistes de cette histoire, sans preuve formelle des faits, preuves qui nous permettraient d’aller sans crainte devant la justice en cas de plainte pour diffamation, on ne pourrait rien relater.
Et surtout, surtout, on ne voudrait pas colporter, sans preuve, une telle rumeur au risque de porter atteinte à l’honneur et à la considération de gens qui seraient injustement mis en cause.
On ne le fera pas davantage par allusion.
Cet article n'en contient aucune.

En revanche, si quelqu’un ayant connaissance de ces faits pouvait nous apporter des éléments probants à l’appui, qu’il (ou elle) n’hésite pas à se rapprocher de nous, via notre boite mail par exemple (info@aixlesbains-lejournal.fr)
. Discrétion assurée.
Ah, oui, une précision : les faits, qui ont pour cadre les environs du lac du Bourget, concernent un comportement inapproprié envers une ou deux personnes, faits commis par des gens ayant une autorité hiérarchique sur elle(s). Des faits qui auraient conduit la (ou les) victime(s) à déposer une plainte devant la gendarmerie après un refus d’un service de police de recevoir cette plainte.

A suivre ?

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