Lettre ouverte de Brigitte Bardot à Macron : « Vous faites de la France une poubelle qui vous sert de trône. »
Il y a chez lui une absence totale de dimension sociale. Il n’a jamais vécu. Quand on regarde un peu sa vie, a-t-il consacré une heure à quelqu’un d’autre que lui ?

Revenez, ils sont devenus fous !
Pierre Desproges : « Je manifeste toujours tout seul. Mes idées sont trop originales pour susciter l’adhésion des masses bêlantes ataviquement acquises aux promiscuités transpirantes et braillardes inhérentes à la vulgarité du régime démocratique imposé chez nous depuis deux siècles par la canailles régicide … »
Michel Colucci : « La moitié des hommes politiques sont des bons à rien. Les autres sont prêts à tout. » Aujourd’hui ne sont-ils pas tous des bons à rien prêts à tout ?  
Georges Brassens : « Que ça c’est vu dans le passé, (bis), Marianne soit renversée, (bis), Il y a peu de chance qu’on détrône le Roi des cons. » Ne pas rêver, le système est en place dans tout l’occident, il est puissant et il ne se laissera pas faire ! 

Dormez en paix, braves gens. Les élus veillent sur vous.
Ils veillent sur nous, mais pas pour notre bien …
Aujourd’hui, on chante en toute impunité : « Je rentre dans des crèches, je tue des bébés blancs. Attrapez-les vite et pendez leurs parents. Ecartelez-les pour passer le temps, divertir les enfants noirs de tout âge petits et grands. Fouettez-les fort, faites-le franchement, que ça pue la mort, que ça pisse le sang. » Pour cette éructation le rappeur a été relaxé par le tribunal.
Le terrorisme intellectuel n’est qu’un mode opératoire au service d’une idéologie. Prétendre le combattre en laissant cette idéologie prospérer n’est qu’un cautère sur une jambe de bois. C’est pourtant la politique qu’a choisi ce pays et qui nous mène au chaos. Et pendant ce temps le petit ministre de l’intérieur fait la chasse à une ‘’extrême droite’’ comme ces vieux clowns, ‘’Les barjols’’. (La plupart ont été relaxés.)
Par contre on trouve sur les services spécialisés du ministère de l’intérieur : ‘’Il y a 15 000 armes de guerre dans les banlieues’’ et également ‘’120 attaques au couteau par jour en France.’’.
Un président ? Ça ? Non, un pantin peureux!
   
Un paltoquet, entre impostures, arrogance, mensonges, vulgarité et incompétence.
Quelques irresponsables qui ont fait de notre pays une poubelle.
   
Sans les copains, les coquins et la presse, le démolisseur aurait été dégagé depuis longtemps.
Jamais, en plus de 2000 ans d’histoire, on a vu au sommet du pays des personnages travailler, de façon aussi continuelle et exclusive, pour servir leurs intérêts ou des intérêts étrangers au détriment du peuple et détruire la Nation. Ils ont fait de la haute trahison un principe de gouvernement. Tous nos élus, sans exception, ont participé depuis 1974 à cette gigantesque démolition qui a conduit à un véritable champ de ruine. Un pays laminé, désintégré, au bord du chaos financier et moral.

Nation/Bastille, casserolade, pancartes, casseurs. Et après ?
On est dans un pays de slogans, d’idées toutes faites et de désinformation. Nombreuses sont les pancartes demandant à « faire payer les riches. ». Nos ‘’révolutionnaires’’ avaient la possibilité de faire sauter le fossoyeur, ils ne l’ont pas fait. Pourquoi ? En juillet 2022, les députés et sénateurs se sont encore augmentés de 254€/mois. Il faut savoir que ceux-ci figurent parmi les personnes les mieux payées de France et se retrouvent au sommet de l’échelle des revenus. Ils font partie des 3% des français les mieux payés. Si on commençait par s’occuper de ces incapables qui nous ont amenés à la ruine. Ne pas oublier que l’usurpateur a été mis en place pour ça, qu’il prend ses ordres chez les corrompus de Bruxelles, eux-mêmes aux ordres. Ce n’est pas sa mission personnelle, c’est celle qui lui a été confiée, il obéit docilement et précède même les demandes. Le mondialisme est son moteur, ce qui conduit à démolir ce qui a fait notre pays, sa culture, son identité, ses coutumes et son histoire.
Et après les casserolades? Rien, nada, oualou, quedal ! A l’aube des grandes vacances, la mobilisation rentrera à la niche, comme d’habitude. Des millions de manifestants et un pouvoir qui est resté immuablement, invariablement et désespérément sourd après un passage en force. Ça n’étonne personne, mais l’usurpateur fait ce qu’il sait faire le mieux, ne se mouillant en rien. En grand courageux, il fait le dos rond et attend que l’orage passe. Les débats sont verrouillés. Se souvenir de la campagne 2022, pas d’annonces, aucun meeting, aucune interview, aucune intervention, aucun débat. Que le pays ruiné le soit encore un peu plus lui importe peu. La fausse intersyndicale, avec à la tête des privilégiés du système, a beau pérorer, elle a montré ses limites. L’usurpateur n’a pas manqué de dire ‘’le pays n’est pas bloqué !’’, crachant ainsi au visage des syndicats, passant en force et LBD à la clé. Les syndicats sont restés au siècle passé en appelant au ‘’dialogue social’’. Un seul mot d’ordre, les 64 ans ! Rien sur l’inaction du gouvernement sur les sujets cruciaux. Le petit peuple qui aujourd’hui travaille encore un peu, regarde effaré des privilégiés se heurter à d’autres privilégiés élus par défaut. Il n’y a jamais eu une telle unanimité du peuple contre un gouvernement. (75%). Et ce soutien, qu’en a fait l’intersyndicale ? Rien, là est le vrai scandale. Hurler devant les caméras ‘’Nous on est là.’’ ou ‘’ On ne lâche rien.’’, est une vaste rigolade ! Qui peut penser que le petit député ‘’Louis la Came’’ à 22 ans, prenne le risque de ne pas être réélu alors qu’il touche ses 12 000€ par mois?
L’usurpateur ne lâchera rien ! Il verra même avec plaisir ce pays se décomposer parce qu’il est ainsi fait et que sa maladie, diagnostiquée par de nombreux spécialistes, est connue. Il n’est rien, mais il a été mis en place par l’Etat profond, les vrais dirigeants de l’Occident. Il n’a pas le choix. Il fait ce qu'on lui dit de faire! Rappelons-nous le discours de JFK à l’université de Colombia, le 12 novembre 1963 : « Le bureau présidentiel a été utilisé pour mettre sur pied un complot d’anéantissement de la liberté du peuple américain, et avant de quitter ce bureau, je dois informer les citoyens de cet état critique. » - 10 jours avant son assassinat le 22 novembre 1963. Etonnant, non ?

BF