COUCOU NOUS REVOILOU

POURQUOI AVIONS NOUS DISPARU DES RADARS?


NOS LECTEURS L’AURONT REMARQUÉ, CELA FAISAIT ONZE JOURS QUE CE JOURNAL N’AVAIT PAS PUBLIÉ UN NOUVEL ARTICLE. 


Cette absence était due à un « problème technique » totalement indépendant de la volonté des rédacteurs.



Notre journal, volontiers iconoclaste avec la classe dirigeante de tous bords, aurait-il été la victime d’un piratage auquel les censeurs des médias libres sont désormais coutumiers? On aurait bien aimé pouvoir le démontrer sans ambiguïté et apporter, ce faisant, la démonstration que notre rôle de trublion était pris au sérieux.

Nos ennuis ont commencé par l'impossibilité pour les rédacteurs d'accéder au site de l'administration du journal et de publier de nouveaux articles, cependant que les articles anciens restaient visibles. Puis c'est le journal lui-même qui a disparu des écrans.
Le temps que notre technicien émérite a passé pour tout remettre en état de fonctionnement pouvait laisser croire que nous étions les victimes d'un vilain piratage.


A ce stade une précision.

Ce journal est régulièrement mis à jour par des rédacteurs bénévoles qui disposent d’un accès sécurisé et personnel à l’administration du site. Un site administratif dont le siège est hébergé en Suisse. C’est à dire en principe à l’abri des tentatives de censure franco-française mais pas à l’abri de hackers.
Depuis, les gestionnaires helvètes du site nous ont promis qu’après ce « blocage » et la modification (laborieuse) des systèmes de protection nous aurions à l’avenir davantage de sécurité.

Acceptons-en l’augure.