Ah, elles n'y vont pas avec le dos de la cuiller les rédactrices de l'hebdomadaire Le Point.
Pour elles, soutenues par les autres rédacteurs, y compris par celui en chef, macron est bien le principal sinon le seul responsable de la situation dramatique, tant du point de vue économique, financier, moral ou social, que connaît aujourd'hui notre pays.
A lire ce réquisitoire on n'a même plus de doute. C'est moins des erreurs de jugement qu'une volonté de détruire le pays qui transparait aux travers de cette douzaine de pages consacrées à l'état de décrépitude morale et financière dans laquelle la France est plongée. Le constat, à l'appui de nombreuses données incontestables, est sans appel. Etonnant, non?
Oui, c'est étonnant de la part d'un hebdo, usons de la litote, qui ne s'est jamais présenté comme un opposant notoire à l'actuel président de la république.
Est-ce à dire que les choses sont en train de changer. On aimerait le croire. Il faut dire que même parmi les derniers supporters de macron on commence à lui glisser (certes subrepticement) des peaux de banane. Ainsi le fidèle (rire) Le Maire 2 laisse désormais entendre que c'est le président en personne qui lui a imposé ces mesures destructrices pour notre pays alors que lui, le Sinistre des Finances, il n'y était pas favorable. Voilà qui sent le prochain lâchage (lynchage?) public.
En attendant, Le Point n'écrit pas encore un mot sur cette immense entourloupe que fut la pandémie avec sa tragi-comique formule "Nous sommes en Guerre!" prononcée solennellement par l'homme qui valait 1000 milliards de dettes.
On attend maintenant le jour où les médias conformistes oseront s'épancher sur ce qui, partout ailleurs dans le monde (USA, Angleterre, Allemagne, notamment) est en train de devenir le scandale du siècle. A savoir la grosse manipulation autour d'un virus pas plus méchant que ceux de la grippe ordinaire... Une fausse pandémie avec, entre autres conséquences, des privations de libertés à n'en plus finir et un appauvrissement du pays comme jamais. Sans compter les milliards d'euros encaissés par une industrie pharmaceutique qui était aux commandes de l'Etat, via les Blackrock et compagnie. Sans oublier les vilains effets secondaires de ces prétendus vaccins qui ne protégeaient de rien ni personne.Une sinistre plaisanterie qui nous a coûté directement plus de 400 milliards d'euros, ceci sans tenir compte des faillites d'entreprises consécutives à cette mascarade politico-sanitaire. De cela aussi macron devra un jour répondre.
Le début de la fin...?
à suivre