LA BÊTE DE L'ÉVÈNEMENT EST LÀ, ELLE ARRIVE

Une prophétie macronienne


Un coup (à trois bandes) encore plus tordu que ce que l'on croyait?

Quelle curieuse sortie de l'ombre. Jean-Michel Macron, le père du macron président, cet homme dont la discrétion jusqu'ici était exemplaire, est sorti du silence voici quelques jours, en plein milieu des débats sur des élections législatives anticipées et mouvementées.
Des élections législatives dont on nous avait certifié que macron en avait pris la décision au soir des élections européennes. Et que disait le papa Macron dans une interview à la presse quotidienne du groupe Ebra, dont le daubé? Il y
affirmait que son fiston de président lui avait déjà annoncé, deux mois plus tôt, son intention de dissoudre l'Assemblée nationale:

A priori on n'a aucune raison de douter de ce que soutient le papa Macron (même s'il existe une autre hypothèse, voir plus bas*).
Ainsi, le macron aurait préparé, en secret, mais de longue date, cette dissolution "surprise" et le résultat (prévisible) des élections européennes n'en aurait pas été la principale motivation, juste un prétexte.

Dans ces conditions, pourquoi macron aurait-il décidé de dissoudre l'AN juste avant l'été, juste avant les Jeux Olympiques? Pour emmerder les Français? Sans doute, cela lui correspond bien. Mais pas seulement, pas principalement. Alors, quid?

Eh bien dans les milieux bien informés il se dit que la France est dans une bien mauvaise passe financière avec un endettement réel de plus de 6.000 milliards d'euros (dont une bonne part détenue par des puissances financières étrangères). Les plus pessimistes assurent même que la France serait au bord du gouffre financier et que les pires difficultés sont devant nous et très très proches. Sans oublier les risques de guerre...

De fait, ces mauvaises langues prétendent que macron ne pouvait ignorer cette situation. Et que comme il ne voudra jamais en assumer la responsabilité il a trouvé LE truc: rendre la parole aux Français! Oh, c'te blague!

Le macron n'a jamais douté que ces cons de Français allaient "mal voter". Qu'ils allaient partager leurs voix entre "l'extrême drouate et l'extrême gôche". Cela ne lui faisait pas l'ombre d'un doute. Au surcroit, macron ne se priverait pas, lors de prises de paroles intempestives, d'attiser les haines. De jeter de l'huile sur le feux qui couvait à gauche, qui s'endormait à droite. Pour exciter davantage les plus fragiles, mentalement parlant, des deux camps. Un coup à hue, un coup à dia. Avec la touche finale: demander lui-même à ses derniers électeurs d'aller voter pour un des deux camps dont il disait encore pis que pendre la veille.
C'est la caca-phonie et le bordel quasiment assurés à la rentrée parlementaire ou pour un prochain gouvernement. Avec macron comme spectateur et arbitre.

Et cela, c'est du Machiavel de belle facture. C'est des Stratèges de haute volée qui lui ont pondu ce piège à cons dans lequel tout le monde serait en train de tomber.
Comme ce pauvre Jordan qui se voyait déjà premier ministre. Ou ce pauvre Gabriel, dindon de cette sinistre farce. Ou ce pauvre Jean-Luc... Non! Pas lui. Pas le Méchanlon. Lui, il a tout compris. Peut-être même est-il dans la confidence. L'un et l'autre éprouvent la même suffisance, le même désintérêt, à l'égard, à l'encontre, du petit peuple. Qui se ressemble s'assemble.

C'est la fin de l'abondance, l'arrivée des régimes autoritaires, la fin d'une forme d'insouciance...
C'est exactement ce que nous promettait le macron il y a tout juste deux ans.
Sans oublier cette prophétie qu'il a tenue un jour, l'air inspiré, presque dans un état de transe, devant une caméra: La Bête de l'Évènement est là, elle arrive une prophétie que l'on peut revisiter dans cette video   https://www.youtube.com/watch?v=yZOouqtSJ7o


Allons quand même voter dimanche. Le pire n'est jamais sûr. Même si d'aucun a déjà prévu une forme d'état... de siège, confer cet arrêté publié le 4 juillet au Journal officiel:


La peur d'une insurrection?

* L'hypothèse selon laquelle c'est le fiston aurait demandé à son paternel d'annoncer cela à la presse au moment opportun, même s'il ne lui avait rien annoncé deux mois plus tôt. Cela reste plausible.