Si tant est que dans ce monde de menteurs-manipulateurs il y ait une vérité
Janvier 2024. Dans les cabinets de conseil privés élyséens (financés par tous les contribuables) on est en train de prendre de l'avance sur l'avenir. On a demandé à macron de désigner comme Premier ministre un jeune inconsistant qui n'a jamais rien fait d'autre de sa vie que de vivre aux dépens de la société. Toutefois, personne n'est dupe. Tout le monde sait que ce personnage passera difficilement l'été et que, au mieux, il succombera à l'automne quand le Parlement devra voter les budgets. La fin du ministère Attal est donc programmée. Reste à organiser cette fin sans donner l'impression qu'elle est subie par le pouvoir.
Très tôt, les cabinets de conseil ont compris que les élections européennes du mois de juin vont être une déroute pour le camp macronien. Une défaite qui va se produire quelques semaines avant le grand bidonnage des jeux olympiques dont le scénario grand-guignolesque de la cérémonie d'ouverture a déjà été écrit et validé par le clan macron*. D'où l'idée de la dissolution de l'Assemblée nationale au soir même de la défaite européenne afin de garder la main.
Dès février tout se met en place. Il est nécessaire, pour bien faire, que la défaite soit lourde et incontestable. Les stratèges vont s'y employer. Alors que quelques "poids lourds" de la macronerie se verraient bien confier la tête de liste aux élections européennes, ne serait-ce que pour pantoufler confortablement pendant quelques années, c'est à la plus inconséquente des inconnus que macron va confier la responsabilité de conduire à la défaite. Même si d'aucuns n'arrivent pas à prononcer son nom, pour ceux qui l'on choisie une chose est sûre, la fameuse candidate, elle est ailleurs (Hayer).
Seulement voilà, il ne suffit pas de perdre, encore faut-il organiser la suite. Primo, il convient de garder le secret, seuls les très très proches collaborateurs de macron seront mis dans la confidence. Mais encore...
Il faut aussi que la prétendue opposition entre dans le jeu. Ainsi, courant mai, par le biais des officines secrètes, un certain Mélenchon est informé que macron pourrait bien jouer un coup de Trafalgar au lendemain des Européennes. La Méluche a alors tout le temps pour, le cas échéant, préparer une riposte, laquelle se mènera sous la bannière d'un (nouveau) Front Populaire. Dans le même temps il faut aussi redonner confiance à l'extrême drouate. Facile. Il suffira que l'inconsistant Attal déclare, sans être désavoué par macron, que le RN fait désormais partie d'un fameux arc républicain qui ne veut rien dire. Quitte à se déjuger ensuite. Du coup, l'autre pigeon de l'histoire, l'incertain Bardella, se sent pousser des ailes, bien encouragé par sa marraine Le Pen, laquelle n'est pas dupe non plus de ce qui se prépare.
De fait, au lendemain de la victoire du RN aux Européennes et de la déroute du camp macron, le Bardella se sent pousser des ailes. Ce gamin de 28 ans, qui n'a jamais rien fait de sa vie non plus, se voit déjà premier ministre. Après Attal, tout devient possible. C 'est Bardella qui conduit la campagne électorale de son camp pour les législatives bien qu'il n'y soit pas candidat. La bonne presse aux ordres lui emboite le pas. Il est présent sur toutes les chaînes. La presse, dite de gauche, en fait son unique adversaire. Celui que dans son propre camp on surnomme ironiquement "jem'voyaisdéjà" s'imagine à Matignon. Il prépare son futur gouvernement, il dessine sa ligne de conduite, il annonce ce que seront ses premières décisions.
Au premier tour le RN caracole en tête. Et, patatras, dès le soir même le discours officiel change
Le Rassemblement national redevient "l'extrême drouate" dans les commentaires. Il faut lui faire barrage. Le clan macronien, qui lui trouvait plus tôt des raisons d'être républicain, lui découvre de nouveau un côté fasciste qui fait peur. Alors la gauche et la macronerie (plus la droite molle) décident de faire alliance pour faire barrage au danger fasciste. En deux jours (rires), Méchanlon sort le programme du Nouveau Front Populaire, celui qu'il a préparé en secret depuis deux mois. Une extrême gôche pro-islamiste s'associe avec une gauche qui n'a plus de socialiste que le nom, pour recevoir le soutien inconditionnel de la macronerie (et de la maçonnerie) pour construire ce barrage. Les larrons en foire instaurent même une forme de désistement jamais vu dans les annales des élections françaises. On voit alors des francs (rires) maçons notoires se retirer de la compétition pour faire élire des islamo-gauchistes antisémites. Au nom du prétendu barrage.
Et ça fonctionne, les électeurs sont tellement bêtes. Le RN qu'on annonçait huit jours plus tôt vainqueur absolu doit se contenter d'une minorité, certes confortable et rémunératrice, de députés. La représentation de l'Assemblée nationale s'est éclatée en trois groupes inconciliables. Impossible de former un gouvernement, dit macron. Un macron qui fait démissionner son Attal et ses ministres tout en les conservant malgré tout au pouvoir. "Jeux Olympiques" obligent prétend-il. Même si c'est faux, sans aucun fondement.
En fait, comme on le démontre ici, tout a été prévu de longue date. Tout a marché comme sur des roulettes. Cela fait des années que les électeurs se font berner mais là c'est à la fois du délire et de la perfection. Les manipulateurs de l'ombre ont tout prévu, tout réussi. Et les gogos de Français ont tout avalé. Nous sommes entrés de plain-pied dans un monde où le vrai semble faux et où le mensonge devient vérité. (et où les femmes sont des hommes comme les autres à l'exception des transgenres qui sont à la fois l'une et l'autre, mais c'est une autre histoire.)
Pas grave. Pour l'information mainstream, ce qui retient désormais l'attention c'est les vacances, c'est le réchauffement climatique, c'est la c'est la guerre entre Israël et le Hamas, c'est Kamala Harris la sur-pas-douée candidate américaine contre Trump la mort, c'est la guerre en Ukraine qui va bientôt revenir au premier plan.. (N'en doutons pas un seul instant, voire pire puisque nous sommes dirigés par des fous.)
En attendant les gogos de Français auront le droit de s'indigner sur les horreurs (Ah, la tête tranchée de Marie Antoinette) disséminées dans un spectacle d'ouverture (à 80% très regardable) qui a réussi le privilège d'avoir indigné la moitié de la terre. Sans oublier ces belles médailles d'or rapportées par des athlètes français dans des sports confidentiels (qui s'intéresse d'ordinaire aux compétitions de tir à l'arc..?).
Panem et circenses, du pain et des jeux comme dans la Rome décadente. Nous sommes en plein dedans.
En attendant le pire, au final il n'y a qu'un vrai vainqueur: macron! Un macron dont la liste qu'il soutenait aux Européennes (15% des voix avec 50% d'abstentions) a obtenu l'assentiment de SEPT électeurs inscrits sur Cent. Et avec l'assentiment de 7% de la population le même macron dispose aujourd'hui des pleins pouvoirs sur soixante dix millions de Français. Et il n'a pas fini de leur en faire baver, ça il ne faut pas en douter.
PARCE QUE C'EST (notre) SON PROJET!
Et celui des mondialistes qui lui tirent les ficelles.
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Note aux benêts: ce qui précède n'est ni une élucubration ni une simple vue de l'esprit. C'est juste le fruit du recollement de certaines informations distillées savamment par ceux qui ont été au coeur de cette duperie. Par exemple...
Ce n'est pas par hasard que le papa du macron a affirmé à la presse que son fils de président lui avait annoncé la dissolution de l'Assemblée deux mois avant qu'elle ait eu lieu. C'est là toute l'a manipulation des esprits pervers. Ainsi macron laisse d'abord entendre avoir décidé le dimanche soir de dissoudre l'Assemblée "pour lancer une grenade dégoupillée" à l'opposition. Puis le même macron a cru bon de laisser percevoir que cela n'était peut-être pas exact puisqu'il en aurait parlé à son père deux mois avant. Le tout et le contraire de tout, c'est machiavélique.
De même, à certains observateurs qui lui reprochaient d'avoir monté son NFP à la va-vite, Mélanchon a chargé sa porte-parole de laisser entendre que ce travail avait été bien préparé. Et tout le monde est tombé dans le... panneau.
Personne non plus ne doutera que la Marine n'est pas fâchée de s'être débarrassée d'un Bardella à la grosse tête. Elle aussi est à ranger parmi les vainqueurs. Non seulement elle va prétendre faire la pluie et le mauvais temps à l'AN mais de surcroît son parti, sur lequel elle est la seule à détenir les rênes des finances, grâce à ses futures rentrées va pouvoir effacer ses dettes et mener grand train. Qu'on en juge: ainsi chaque voix obtenue au premier tour de l'élection législative va lui valoir 1,60 euro par an. Soit 17 millions d'euros chaque année de la législature. Plus, oui PLUS, 37.000 euros annuels par député élu soit encore plus de 4 millions d'euros par an.
Alors, elle est pas belle la vie!
Tout cela va lui permettre de se présenter fièrement à la prochaine présidentielle et à ramasser une nouvelle veste pour compléter sa garde-robe. Au passage, elle aura surtout empêché une autre opposition de nous débarrasser des prédateurs qui se succèdent à la tête du pays. Et la nave va...
On appelle cela les dégâts de la Marine. Et c'est la France qui sombre lentement mais sûrement.
* Nul ne peut ignorer que macron lui-même avait validé les "spectacles" d'une rare perversité (Ah, la Cène avec cette gamine dont on mime le cou à trancher) qui ont émaillé le défilé d'ouverture des JO et dont il ne pouvait ignorer qu'ils allaient indigner une partie de la population mondiale.
En voilà un qui a tout compris