SAUF CEUX QUI L'ÉTAIENT DÉJÀ
Il y a en France un petit cercle d’initiés (sic) composé d’une part, de politiciens de métier (la plupart n’ont jamais rien fait d’autre) et de groupes de presse inféodés aux premiers de l’autre part. Ils se présentent comme le Camp du Bien.
Ces gens-là occupent depuis des décennies le devant de la scène, quasiment sans partage.
Ils sont, pardon, ils étaient tous, jusqu'à hier, aveuglément américanophiles.
Ainsi, quand le président américain G. Bush, sur la base d’un mensonge éhonté (Sadam Hussein a des armes de destruction massive), détruit l’Irak et déséquilibre le Proche-Orient, ils ne bronchent pas. Ils ne bronchent pas en dépit des centaines de milliers de victimes civiles innocentes? Et sans doute aussi parce qu'ils croient que depuis, ça va beaucoup mieux en Irak:
Quand Obama, autre grand démocrate, décide de détruire la Libye avec l’aide de l’autre très démocrate français, Sarkozy, ceci au prix de centaines de milliers de victimes civiles, le camp du bien ne bronche pas. Au contraire il applaudit la mort d’un dictateur. Et qu’importe si la disparition de Kadhafi fait de la Libye la porte d’entrée à une immigration Islamiste invasive.
Quand la même Amérique nous pille nos secrets et notre savoir-faire en matière de nucléaire (Alstom), le Camp du Bien n’y trouve rien à redire.
Quand cette même Amérique nous pique nos marchés dans le domaine militaire et impose à l’OTAN ses propres fabrications, le Camp du Bien ne dit rien.
Quand un autre grand démocrate américain, Jo Biden (bidon?) met en place une guerre contre la Russie, le camp du bien l’applaudit. Et le soutient financièrement (20 milliards d ‘euros) en dépit des centaines de milliers de victimes.
Le même Camp du Bien ne trouve rien à redire quand, à l’instigation des alliés de l’Amérique, la France se retrouve privée du gaz et du pétrole russes et se voit contrainte d’importer du pétrole ou du gaz de schiste américains, des carburants interdits d’exploitation en France et en Europe pour cause d’écologie.
De même que le toujours Camp du Bien va s’évertuer à cacher pendant quatre ans que le président des USA est sénile, qu’il n’a que quelques moments de lucidité par jour, et que le véritable pouvoir est dans les mains une oligarchie américaine.
De même, quand, après avoir laissé fuiter un virus d’un laboratoire en Chine, l’état profond (Deepstate) américain, via son faux-cul de Fauci, décrète une pandémie mondiale, le Camp du Bien applaudit les mesures liberticides et nocives pour la santé prises à l’instigation des laboratoire pharmaceutiques américains. Et ce même Camp du Bien fait fi du coût pour la France de ce mauvais coup américain (150 milliards d’euros).
Le Camp du Bien soutient les changements de moeurs venus d’Amérique, tel le wokisme et ses théories du genre. Comme il trouve normal les mesures imbéciles qui accompagnent un prétendu réchauffement climatique très contesté par ailleurs.
Bref le Camp du Bien fait tout pour entretenir le bon peuple français dans l’illusion et le mensonge soutenu par nos amis américains. Mais alors…
Mais alors quand un nouveau président américain déclare qu’il ne croit pas au réchauffement climatique, qu’il renonce à respecter les accords de Paris, qu’il va quitter l’Organisation Mondiale de la Santé (qui nous a menti et qui est stipendiée par des milliardaires avides de profits), quand il rappelle, ce qui est le bon sens, qu’il n’y a que deux sexes chez les êtres humains, male and female, alors là le Camp du Bien explose.
Et cette fois ci-ci il rejette tout ce qui vient d’Amérique parce que cela ne correspond plus à ce qu’il a tenté de nous inculquer depuis des décennies.
Il explose de colère, d’abord, avant d’exploser d’impuissance.
Car le monde que les gens du Camp du Bien nous ont proposé n’existe que dans leur imagination féconde. Il n’y a sans doute pas plus de réchauffement climatique qu’il n’y a eu de pandémie covidiste menaçant l’humanité toute entière au point de martyriser des centaines de millions d’innocents avec des mesures débiles ou des injections délétères.
Pour la plupart de nos médias et des politicards professionnels français, pour le Camp du Bien, il y a deux Amérique, l’une dont ils suivent aveuglément les consignes et l’autre dont ils rejettent tout.
Ah, si ceux-là, sans doute polyglottes, pouvaient nous traduire, en langage francophone, le fameux slogan America First… plutôt que de voir un symbole nazi dans le geste symbolique d’un Elon Musk partageant son coeur avec l’assistance qui l’applaudît,.
Pauvre France, il serait temps de te réveiller.
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