Le maire d’Aix, n’ayant pas
d’idées, suit la mode.
Mais pour qui se prend-t-il pour nous imposer de telles décisions ? Après
la monstruosité des anciens thermes, il décide, sans aucune concertation, une ZFE
et des 30 km/h en ville. Qui arrêtera cette folie furieuse qui dirige la ville
depuis 2001 ?
Super ! Enfin, on va pouvoir
se déplacer en ville et travailler dans de meilleures conditions !
Beretti va faire en sorte que
l’on puisse rouler à 30 km/h en ville. Ce qui ne nous est pas arrivé depuis
longtemps, on avait pris l’habitude de se faire doubler par les trottinettes.
Encore ce matin, à 9h30, il fallait 40 minutes pour faire le trajet de l’hôpital
d’Aix à la zone commerciale de Drumettaz. Ce qui n’est pas exceptionnel. (Pour
info, normalement, ce trajet peut se faire à 50 km/h en 7 minutes.) Ceux qui se
déplacent pour aller au travail ou pour le travail, seront enfin heureux de
pouvoir rouler à cette vitesse ! Entre les bouchons, les ralentisseurs,
les travaux, (Ah, la rue du Casino, les thermes, la D913, la rue Georges 1er,
etc ..) le manque de parking, les pénétrantes côté sud, est et nord saturées, et
tant de foutoirs organisés. Nos élus bétonnent mais tout ce qui devrait
accompagner ne se fait pas. Beretti, le nouvel écolo, devient un grand
fabricant de carbone. Ce qui permet de créer des taxes et de se faire passer
pour le sauveur de la planète. Mais qui nous sauvera de tous ces
sauveurs ?
Notre élu, Beretti, est issu d’un système de cooptation par son parti
politique et d’un soutien, qui manque de discrétion, de la presse locale.
Le paragraphe suivant explique bien notre système électoral qui est tout
sauf démocratique.
Comment fabrique-t-on un président ?
(Ou n’importe quel élu.)
Un débat entre une invitée journaliste du Point et une éditorialiste de
BFM.
La journaliste : « On a des journalistes qui vont chercher. On a un peu fabriqué
l’outsider de 2016. C’était Emmanuel Macron. Il nous plaisait, c’était nouveau,
on a vendu cette image. Là on en cherche un peu un autre parce que ‘’le truc’’
s’est un peu fracassé. On en cherche un qui soit présentable et par ailleurs,
oui, ça en dit long de la classe politique qui est discréditée. ».
Pour ces vautours, le président n’est qu’un ‘’truc’’ à vendre aux veaux
pour faire du fric et récupérer des subventions sans lesquelles la presse papier
n’existerait plus. Ces nombrilistes seraient chômeurs au lieu de se vautrer sur
le tapis rouge à Cannes.
Un autre journaliste commente cette
intervention : « Ça en dit
long, surtout sur cette chaîne, qui visiblement choisit un candidat pour nous
le vendre dans un bel emballage, jusqu’à l’écœurement. Voilà, ces gens ne se
cachent même plus. Vous remarquerez que personne ne relève sur le plateau, même
s’il y a de fortes chances qu’elle se soit fait remonter les bretelles à la sortie.
Un truc assez fou, c’est qu’elle n’en parle pas comme d’une faute ou d’une
erreur. Elle avoue même réitérer l’opération en ce moment même : ‘’on en
cherche un qui soit présentable.’’. Voici en direct l’aveu d’une journaliste qui
assume faire partie d’une entreprise qui créé et vend notre futur président de
la république. ».
Les maquignons de la presse nous
vendent des bourricots à la place de pur-sangs ! Il faut s’en souvenir.
Ça a déjà commencé !
Voilà qui devrait rendre plus modestes notre ex Jupiter, nos élus nationaux
et locaux qui ne sont, eux aussi, que ‘’des trucs’’ qui se vendront bientôt pas
cher sur ‘’Le Bon Coin’’.
On a déjà 8 ou 10 bras cassés, qui ont fait la preuve de leur incompétence
ou de leur malhonnêteté, qui défilent à tour de rôle dans tous les médias pour
2027.
Malheureusement les toutous iront encore faire là où on leur dit de faire.
Rappel de ce que l’on nous a
vendu!
Brigitte, sur RTL, le 26 janvier 2024. : « Mon mari donne toute son énergie au service de la France et nous ne
l’écoutons pas assez. »
C’est vrai, c’est très injuste. Nous sommes trop durs avec ce génie des
Carpates qui joue comme un gamin immature avec notre pays. Ce mal élevé casse
tout sans jamais réparer. Il casse et il jette ! Il est dangereux de ne pas
être gentil avec lui, les gilets jaunes peuvent témoigner des foudres de
Jupiter! L’empereur fou de Rome a brûlé sa ville. Sous MacroNéron, ce sont les
écoles, les commissariats, les préfectures, les voitures, les églises, les
gymnases, et même quelques jeunes femmes pas assez voilées, qui partent en
fumée.
Mais comme lui, personne ne voit rien venir. Nos politiciens ont déjà capitulé !
Ils sont prêts à des alliances contre nature pour garder leurs postes, leurs
petits commerces, leurs magouilles qui priment sur les intérêts du pays et de
ses habitants qui comptent toujours pour bien peu !
Nicolas Gomez d’Avila : « Notre
société tient à avoir des dirigeants élus pour que le hasard de la naissance ou
le caprice d’un monarque ne viennent pas tout à coup livrer le pouvoir à un
homme intelligent. »
BF